Les panneaux solaires, c’est cher, inefficace et ça ne fonctionne que sous un soleil de plomb… Vraiment ? Pourtant, des milliers de foyers profitent déjà d’une énergie propre et rentable, même sous un ciel nuageux. Trop d’idées reçues freinent encore ceux qui voudraient franchir le pas. Et si ces mythes vous empêchaient, vous aussi, de faire des économies sur votre facture d’électricité ? Découvrons ensemble la vérité sur le solaire.
Les panneaux solaires photovoltaïques fonctionnent en captant la lumière du jour et non la chaleur, ce qui leur permet de produire de l’électricité même en hiver ou par temps nuageux. Bien que leur rendement puisse être légèrement inférieur par temps couvert, ils restent opérationnels et continuent à produire de l’énergie pour votre maison. De plus, les températures froides peuvent améliorer leur efficacité, car les cellules photovoltaïques fonctionnent mieux à des températures modérées qu’en cas de forte chaleur. Des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni, qui bénéficient d’un ensoleillement relativement limité, ont pourtant investi massivement dans l’énergie solaire et développé une capacité photovoltaïque significative, prouvant ainsi l’intérêt du photovoltaïque quelle que soit la météo. Amis Bretons, le solaire est aussi rentable chez vous.
Les panneaux solaires fonctionnent même sous un ciel nuageux et produisent de l’énergie toute l’année.
Le coût des panneaux solaires a fortement baissé ces dernières années, et de nombreuses aides financières existent pour les particuliers et entreprise (prime à l’autoconsommation, réduction de TVA, subventions locales). Toutefois, ces aides ont tendance à baisser chaque année. De plus, une installation bien dimensionnée permet de réduire significativement la facture d’électricité et de revendre le surplus à EDF. En 7 à 14 ans, votre installation peut être rentabilisée !
Installer des panneaux solaires est un investissement rentable, en autoconsommant l’électricité gratuite produite par vos panneaux (plutôt que de l’acheter à votre fournisseur, en moyenne 0,25€ par kWh), et en revendant votre surplus.
Certains affirment que la fabrication des panneaux consomme plus d’énergie qu’ils n’en produisent. C’est faux. Un panneau solaire compense les émissions de CO2 liées à sa fabrication en seulement 2 à 3 ans d’utilisation. C’est ce qu’on appelle le temps de retour carbone (TRC). Pour rappel, un panneau solaire continue de produire de l’énergie propre pendant 30 à 40 ans. De plus, un panneau solaire est recyclable à 95% en moyenne.
Installer des panneaux solaires est une solution durable avec un bilan carbone très faible.
Si une exposition plein sud est idéale, une orientation est ou ouest fonctionne aussi très bien.
Grâce aux avancées technologiques, il est désormais possible d’optimiser la production d’énergie, même sur un toit légèrement ombragé ou dont l’inclinaison n’est pas idéale. L’utilisation de micro-onduleurs ou d’optimiseurs permet d’atténuer les pertes de rendement et d’exploiter au mieux chaque rayon de soleil. Ainsi, même si votre toit n’est pas parfaitement exposé, il peut tout de même accueillir une installation solaire performante et rentable !
Votre toiture peut être adaptée aux panneaux solaires avec une étude précise réalisée par un expert Voltare.
L’installation d’une batterie n’est pas obligatoire pour profiter de l’énergie solaire. L’électricité produite peut être consommée immédiatement ou injectée sur le réseau, permettant ainsi de valoriser le surplus en le revendant à EDF Obligations d’Achat. De plus, une alternative aux batteries physiques existe : le stockage virtuel. Ce système permet d’injecter l’électricité excédentaire dans le réseau et de la récupérer plus tard quand vous en avez besoin (le soir par exemple) une sorte de “crédit énergétique”. Cela évite le coût élevé lié à l’achat d’une batterie tout en optimisant l’autoconsommation et la rentabilité de l’installation photovoltaïque. Pour en savoir plus sur la batterie virtuelle, vous pouvez consulter les marques référentes : Urban Solar Energy et MyLight150.
Le stockage sur batterie physique n’est pas obligatoire et d’autres solutions existe comme la revente du surplus à EDF OA ou le stockage sur une batterie virtuelle.
Il est vrai que le mix énergétique français est l’un des moins carbonés d’Europe grâce à une forte part du nucléaire. Cependant, cela ne signifie pas que l’électricité consommée est totalement neutre en carbone. En moyenne, chaque kilowattheure consommé en France émet environ 85 g de CO₂. À titre de comparaison, un kilowattheure d’origine photovoltaïque en émet environ deux fois moins (45 g CO₂/kWh), et près de dix fois moins qu’un kilowattheure produit par une centrale à gaz (490 g CO₂/kWh).
Le développement du solaire permet donc de réduire encore davantage l’empreinte carbone de notre électricité. C’est d’autant plus crucial que la demande en électricité est appelée à augmenter dans les années à venir (véhicules électriques, pompes à chaleur, électrification des usages...). Or, le renouvellement du parc nucléaire prendra du temps : les nouveaux réacteurs ne seront pas opérationnels avant 2040. Sans alternatives renouvelables comme le solaire, la France devra combler ses besoins en important de l’électricité plus carbonée ou en recourant aux énergies fossiles, ce qui ferait grimper l’intensité carbone de notre électricité.
Les panneaux solaires souffrent encore de nombreux préjugés. Chez Voltare, nous partageons une vision pragmatique : les panneaux solaires sont efficaces, rentables et écologiques. Grâce aux avancées technologiques, à la baisse des prix, et aux aides à l’installation, cette solution devient accessible à tous.
Et si vous passiez à l’énergie solaire ?