Vous avez entendu que les aides pour les panneaux solaires baissent en 2025 ? C’est vrai - les primes diminuent, les tarifs de rachat aussi. Mais pendant ce temps, votre facture d’électricité, elle, continue de grimper. Bonne nouvelle : une installation photovoltaïque bien pensée reste plus que jamais rentable. Le secret ? Bien dimensionner son système et viser une autoconsommation maximale. Alors, comment faire les bons choix pour que votre projet solaire en vaille toujours le coup ?
Depuis début 2024, l’État français a engagé une réduction progressive des dispositifs de soutien au solaire résidentiel. En 2025, la tendance se confirme. Pour retrouver les montants exacts des différents aides au 1er avril 2025, consultez notre dernier article à ce sujet.
En parallèle, le prix de l’électricité ne cesse d’augmenter, atteignant ou dépassant les 0,25 €/kWh pour de nombreux foyers.
💡 Résultat : vendre son électricité devient moins rentable, mais la consommer soi-même devient de plus en plus avantageux.
Pour rentabiliser un projet photovoltaïque aujourd’hui, il faut adopter une approche stratégique. Voici les trois piliers d’une installation bien pensée.
La première erreur fréquente ? Installer trop de panneaux. Une installation trop puissante produit beaucoup… mais vous risquez de réinjecter l’excédent pour une bouchée de pain.
Chez Voltare, nous commençons par estimer vos besoins à l’aide de notre simulateur, puis nous affinons le dimensionnement de votre installation en tenant compte de vos usages réels et de vos habitudes de consommation. Notre objectif : viser un taux d’autoconsommation > 50 %.
L’énergie solaire est gratuite… à condition de l’utiliser au moment où elle est produite. C’est là que tout se joue : produire de l’électricité en journée n’a d’intérêt que si vos appareils peuvent la consommer en temps réel.
C’est pourquoi le pilotage intelligent de la consommation devient un levier essentiel pour maximiser votre autoconsommation.
Concrètement, que peut-on faire ?
Même en optimisant sa consommation en journée, il reste souvent une partie de l’électricité produite qui n’est pas utilisée immédiatement. Mais cette énergie non consommée n’est pas perdue… à condition de savoir quoi en faire. Deux grandes solutions permettent aujourd’hui de valoriser intelligemment ce surplus : le stockage ou le partage.
Le stockage physique consiste à installer une batterie domestique, d’une capacité de 5 à 10 kWh.
Ses avantages :
Inconvénients à connaître :
Si vous ne souhaitez pas investir dans une batterie physique, il existe une alternative souple et économique : le stockage virtuel.
Principe :
Autre option complémentaire ou alternative : l’autoconsommation collective (ACC). Vous pouvez partager votre production avec des voisins, reliés au même réseau basse tension (dans un rayon de 2 km maximum).
Cela permet :
Au-delà de l’aspect purement économique, investir dans une installation photovoltaïque constitue un véritable choix de résilience et d’indépendance énergétique :
Oui, les aides baissent. Mais non, le solaire n’a jamais été aussi stratégique. Avec des coûts en baisse et des outils intelligents, l’autoconsommation devient la clé de la rentabilité.
💡Aujourd’hui, il ne suffit plus de produire : il faut consommer au bon moment.
Alors, prêt à passer au solaire avec Voltare ?